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Finance Apple, une pomme encore plus croquante!

Apple est la société de tous les superlatifs. Elle engendre tous les fantasmes de ceux qui la glorifient comme une déesse numérique ou de ceux qui la détestent comme une entreprise qui ne produirait que du vent technologique dont la valeur ajoutée se limiterait au design.
La naissance du mythe Apple est née d’une opportunité technologique qu’a su saisir Steve Jobs, fondateur de la société californienne, lors d’une visite, en 1979, dans les laboratoires de Xerox qui avait développé les prémices d’une interface graphique et de la souris. 1973, la station Xerox Alto a été la première interface graphique de l’ère informatique.

Toute l’histoire d’Apple, après cette rencontre, en a été bouleversée. Il a fallu une longue traversée du désert puis une reprise en main d’Apple par son fondateur, qui avait été exclu, en 1985, de sa propre entreprise puis repris en 1996.

De retour aux commandes, fort de son expérience avec sa précédente entreprise NeXt, Steve Jobs déploie sa vision technologique de ce que sera l’informatique du XXIe siècle. Ils créent de nouveaux besoins numériques en s’appuyant sur son designer Jonathan Yves, personnage clé de l’entreprise Apple, qui décrasse ce monde gris et binaire en développant des produits au design novateur et percutant…

Je suis triste, #JeSuisCharlie

Je suis immensément triste de voir ce monde se décomposer par des idéologies qui n’ en sont pas et de bien d’autres maux tout aussi dévastateurs.

Trois jeunes adultes, sans cervelle, overdosés de came terroriste aux odeurs religieuses contrefaites et nauséabondes , ont exécuté à la Kalachnikov des hommes et femmes qui défendaient des valeurs universelles comme la liberté d’expression, la protection de la démocratie…

Dans cette folie assassine et barbare, ils voulaient assassiner les vertus fondatrices de la France. Ils ont tué des innocents. Ils étaient les fruits de cette vertu française. Une France accueillante black-blanc-beur composée de chrétiens, de juifs, de musulmans, de laïcs…  On ne doit rien concéder au terrorisme, la France est et restera un pays de liberté et d’accueil.

Ils sont tombés sous les balles des frères Kouachi et d'Amedy Coulibaly

Elsa Cayat. Mustapha Ourrad. Michel Renaud. Frédéric Boisseau. Ahmed Merabet. Franck Brinsolaro. Bernard Maris. Stéphane Charbonnier (Charb).
Jean Cabut (Cabu). Georges Wolinski (Wolinski). Bernard Verlhac (Tignous). Philippe Honoré (Honoré). Clarissa Jean Philippe. Yohan Cohen, Yoav Hattab. Philippe Braham. François-Michel.

Je veux taire mes illusions et garder mes rêves… Jean-Marie Hullot
Ce soir je suis triste, #JeSuisCharlie

 Les problèmes du monde ne peuvent être résolus par les sceptiques ou les cyniques dont l’horizon se limite à ce qui est visible à leurs yeux. Il faut des hommes qui rêvent à des choses inédites et qui se disent « Pour quoi pas? » John Fitzgerald Kennedy

Apple, «Can't innovate anymore, my ass!»… What the fuck!!

Note… l'article qui va suivre devait être publié  le lendemain de la conférence de presse Apple (keynote) du mois d’octobre 2014. Mais les mots étaient si durs à l'encontre d'Apple que j'ai édulcoré le texte et finalement renoncé. Mais en parcourant les sites internet, je me suis rendu compte que tous, ou presque, avaient un discours très contenu et politiquement correct à l'égard d'Apple, comme les revues automobiles lécheuses de l'arrière-train des constructeurs. Pour revenir à ce qui nous préoccupe, j'ai allégé et réduit le texte pour exprimer mon ressenti… 

«Can't innovate anymore, my ass!», petite phrase avec les mots choisis «entre amis» du cowboy Phil Shiller après la présentation du nouveau MacPro (nouveau Mac Pro ,qui, d'ailleurs, est plus une évolution du Cube Apple que du MacPro!) illustre bien l’état d’esprit d’Apple. Innovation, mais pas dans le sens des attentes des utilisateurs. Cette même phrase lancée par Phil Shiller, il y a plus d’un an, aurait pu être reprise à la conférence de presse d’octobre 2014, pour le moins surprenante, voire surréaliste, avec des produits où je cherche encore leurs véritables intérêts ou innovations avec les arguments qui susciteraient l’achat! 

Mis à part la nouvelle version OS X 10.10 alias Oysemite, le nouvel iPad Air 2;  l’horizon  Apple s’égare vers des produits de plus en plus fermés, aux performances douteuses et une dictature du design de plus en plus insupportable.

En revanche, je ne doute pas un seul instant que les fanboys mononeuronés de la marque pommée seront enthousiastes de ces nouveautés!

Leica X Type 113. La Deustch Quality. Bref, un Leica!

«Leica X type 113. La Deustch Quality. Bref, un Leica!» Un titre aux multiples interprétations au regard de ce boitier Leica à la fois «banal» et «original». Le Leica X type 113, une fois entre les mains, ne laisse pas indifférent; un sentiment où se mêlent objectivité et subjectivité de maitrise de la chose photographique. Leica est une marque mythique qui suscite de la passion au sein de la communauté, si particulière, des photographes. Les uns vous affirmeront,droit dans les yeux, que vous allez vivre une expérience ultime et mystique de l'image. Les autres, dans la même posture, vous soutiendront que «l'image» Leica est surfaite, bonne à satisfaire l'égo fortuné de photographes qui n'en sont pas… Bref, Leica ne laisse pas indifférent; et ce Leica X type 113 a pour lui d'excellents arguments pour convaincre les photographes en quête d'une certaine authenticité.

C'est en 2010 que Leica lance son premier Leica X, le X1, il est équipé, à l'époque, d'un 23 mm ƒ2.8 ASPH. Le concept d'un compact expert haut de gamme fut lancé par Leica et non par Fuji (Fuji X100 en mars 2011). Le Leica X1 fut suivi d'un Leica X2, X-Vario et aujourd'hui d'un Leica X type 113. La belle et exceptionnelle signature colorimétrique Leica est toujours présente sur ce nouveau Leica X (sans valoir celle d'un Leica M type 240) avec des avancées notoires qui font de ce Leica X un boitier séduisant avec un évident plaisir photographique pour un tarif abordable, quand on parle d'un Leica.

Keynote 9.9.2014, Entre rêve et désillusion !!!! Màj

Apple, comme à son habitude, sait annoncer ses produits avec un savoir-faire qui incarne l’esprit Steve Jobs. Comment vous faire croire que l’objet que je vous vends est exceptionnel ? Comme je le dis dans le titre de cet article entre rêve et désillusion, le keynote d’hier soir m’a laissé un goût amer qui a du mal à passer. Même si je suis un utilisateur satisfait par les produits Apple, je ne pense pas me jeter sur les nouveaux modèles. Mais, est-ce l'objet qui le rend exceptionnel ou l'écosystème qui nous rend dépendants d'Apple ?