L’exceptionnel Leica Q se décline en version anodisée argent… Attention au surdosage marketing!

Deux ans après la sortie du Leica Q, la firme allemande de Wetzlar décide de relancer ce boitier devenu culte , en "offrant" , pour 4190€, une version anodisée argent sans aucune autre forme de nouveauté. Déception annoncée pour celles et ceux qui attendaient un Leica Q monté d'un 35 ou 50mm, il faudra, pour le moment, se résigner au Summilux 28 mm F1.7. Les boutons de commande sur le capot sont en couleur argentée et les gravures rouges de l’échelle de la profondeur de champ et des focales sur l’objectif offrent un design néoclassique. 

Certes, à 4190€ je comprends que beaucoup ne peuvent s'offrir un tel boitier, mais il demeure relativement et paradoxalement "accessible" pour un Leica avec toute la référence et synonymie que ce nom entraine dans son sillage.

Lightroom Classic/CC… attendu, remarqué, mais sans panache !

L'entreprise Adobe est née quasiment avec l'informatique grand public, c'est maintenant une vieille dame qui traine derrière elle une partie de l'histoire de la création graphique, elle est devenue au fil du temps une sorte de référence pour beaucoup de créatifs, de directeurs artistiques, de vidéastes et de photographes. La position dominante de l'éditeur Adobe a fait que l'application Lightroom s'est imposée assez naturellement chez beaucoup de photographes.

La première version de Lightroom date du 18 juillet 2006, le 18 octobre 2017, Adobe lance deux versions de Lightroom… (pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer !) Lightroom Classic (successeur de Lightroom 6) et Lightroom CC (*nouvelle application concurrente de Photos d'Apple*). Au regard de la version 1, Lightroom a bien évolué sur les fonctionnalités depuis ses 11 ans d'existence. Malheureusement, l'interface et l'ergonomie sont toujours aussi oligarchiques que rigides. Quant au rendu final des photos, ils sont, à mon gout trop « artificiel ». 

Je regrette que  le rendu Lightroom, dans l'air du temps, plaise à un grand nombre de photographes; je comprends également qu'il puisse être compliqué de changer d'application et d'habitude après dix ans passés avec Lightroom. Pourtant, le résultat obtenu avec l'application Capture One Pro 10 ou Affinty est nettement meilleur. J'affirme cela sans la moindre mauvaise intention de troller !

Keynote septembre 2017… iPhone X, produit de rupture !

Je suis persuadé, du moins je l'espère, que vous n'avez pas attendu un hypothétique article sur Digitlife Magazine pour vous faire une idée des nouveautés Apple annoncées par l'inimitable et boutentrain Tim Cook, sacré Tim! Cette traditionnelle keynote de septembre marque la présentation de la nouvelle collection iPhone 2017/2018 et de quelques autres produits numériques qui combleront votre vie de plaisirs à défaut du bonheur de la vie… tout est une question de priorité et de choix.

Une nouvelle Apple TV plus puissante, compatible 4K; une Apple Watch Series 3 qui téléphone; deux iPhone 8/8 Plus dans le prolongement des iPhone 7/7 Plus… Et enfin le fameux et très attendu iPhone X (prononcer 10) bardé de technologies pour justifier un tarif très légèrement stratosphérique !

« The Mennonites » Chef-d’oeuvre magistral du photojournalisme ethnologique de Larry Towell

La culture est le meilleur chemin intellectuel et humaniste pour comprendre l’autre dans sa dimension la plus large. Néanmoins, une connaissance culturelle est vide de sens, si elle ne s’accompagne pas de pertinence et de discernement. Deux qualités essentielles pour appréhender avec subtilité ce monde si complexe qui nous entoure et des populations qui le composent. Larry Towell, entre autres photographes,  est une personne particulièrement originale et attachante dont son discernement et sa pertinence sont profondément scellés dans son travail photographique. 
« The Mennonites » est l’illustration parfaite de ce qu’est un chef-d’oeuvre photographique. Un ouvrage à la fois culturel, philosophique et ethnologique qui hisse l’art de l’image à celui d’un art majeur et intemporel. Une oeuvre incontournable et majeure à retenir au patrimoine mondial de la culture.

Paragon NTFS for Mac version 15, l'utilitaire oublié mais indispensable!

Combien de fois avez-vous été dans l'impossibilité d'organiser des données sur un disque dur externe au format Windows, mis à part le format FAT 32 tombé dans l'obsolescence tant ses limitations sont contraignantes ? Dans la pratique, Mac OSX est capable de lire les données des données à partir d'un disque au format NTFS Windows. Mais il lui est impossible d'écrire, de copier, de modifier, d'organiser ou supprimer des fichiers sur les disques NTFS Windows depuis votre Mac ?

Il existe plusieurs solutions pour résoudre ce problème dont certaines payantes ou libres en Open Source. La plupart de ces solutions peuvent se révéler peu sures, lentes, voire délicates pour la sécurité des données. L'éditeur allemand Paragon  est LE spécialiste de référence dans ce domaine pour faire dialoguer les disques tant en en lecture qu'en écritures à travers de multiples systèmes d'exploitation. Dans notre cas, il établit un dialogue complet d'un disque dur au format Windows, de manière bi directionnelle entre les systèmes Mac OSX et Windows.

Cela fait de nombreuses années que l'éditeur Paragon développe, entre autres, l'application Paragon NTFS for Mac. La version 15, la dernière en date apporte quelques nouveautés intéressantes à la fois au niveau des performances et de la sécurité des données. Une version nettement plus rapide en lecture/écriture avec les disques durs, les SSD ou les clés USB NTFS pour Windows.

Le service Setapp, l'alternative aux abonnements isolés de multiples applications ?

Il y a quelques semaines, j'écrivais sur Digitlife Magazine ceci: « En 1990, Larry Ellison, homme d’affaires américain, fondateur de la société Oracle, prédisait que la pratique de l’ordinateur se ferait, entre autres, avec le cloud et des services associés par location ou abonnement. Le temps lui a donné raison, puisque l’on voit fleurir de partout des services de ce type comme: Apple Music, Spotify, Adobe, iCloud, Dropbox, etc. la liste est longue ! » L'actualité logicielle de ces dernières semaines ne fait que de conforter cette prédiction des années 90 avec une liste grandissante d’éditeurs qui annoncent la mise en place d’un système d’abonnements pour l’usage de leurs applications.

Du point de vue de l'éditeur, l'idée de l'abonnement comporte un grand nombre d'arguments favorables comme la stabilité financière de l'entreprise et une meilleure projection du produit sur le long terme. Le prix définitif pour acquérir une application auquel il fallait ajouter le tarif des mises à jour comportait beaucoup d'éléments aléatoires qui pouvaient mettre en péril la viabilité du produit et de son éditeur. Les abus étaient nombreux sur de fausses mises à jour payantes juste pour remettre de l'argent frais dans les caisses de la société éditrice.
 

Phase One lance Capture One Styles, le prêt-à-porter photographique

PhaseOne , l’éditeur danois de Capture One Pro sent que les dieux de la photographie lui sont particulièrement favorables. Il profite de ce succès pour commercialiser ses propres packs de styles qui s’adressent autant à des photographes en découverte de Capture One Pro que des experts pour qui ces packs seront un accélérateur dans le processus créatif de leurs photographies.