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« The Mennonites » Chef-d’oeuvre magistral du photojournalisme ethnologique de Larry Towell

La culture est le meilleur chemin intellectuel et humaniste pour comprendre l’autre dans sa dimension la plus large. Néanmoins, une connaissance culturelle est vide de sens, si elle ne s’accompagne pas de pertinence et de discernement. Deux qualités essentielles pour appréhender avec subtilité ce monde si complexe qui nous entoure et des populations qui le composent. Larry Towell, entre autres photographes,  est une personne particulièrement originale et attachante dont son discernement et sa pertinence sont profondément scellés dans son travail photographique. 
« The Mennonites » est l’illustration parfaite de ce qu’est un chef-d’oeuvre photographique. Un ouvrage à la fois culturel, philosophique et ethnologique qui hisse l’art de l’image à celui d’un art majeur et intemporel. Une oeuvre incontournable et majeure à retenir au patrimoine mondial de la culture.

Phase One lance Capture One Styles, le prêt-à-porter photographique

PhaseOne , l’éditeur danois de Capture One Pro sent que les dieux de la photographie lui sont particulièrement favorables. Il profite de ce succès pour commercialiser ses propres packs de styles qui s’adressent autant à des photographes en découverte de Capture One Pro que des experts pour qui ces packs seront un accélérateur dans le processus créatif de leurs photographies.

Capture One Pro 10.1 de Phase One. L’application aussi importante que votre boitier.

Je ne cesserai jamais de le dire et de l’écrire, Capture One Pro 10 est la plus belle et la meilleure application numérique qui saura sublimer votre talent photographique si vous avez l’oeil créatif et l’esprit culturel. Phase One est une entreprise danoise particulièrement attentive sur la qualité de ses produits et à l’écoute de ses clients. La version 10.1 de Capture One Pro est un prolongement logique de cette politique du dialogue en proposant le meilleur dans un cadre défini dans l’esprit des produits Phase One.
 

Sony A9, le rêve de Sony… le cauchemar de Nikon et Canon !

L’annonce du Sony 9 est majeure pour la société nippone, elle inaugure une nouvelle étape technologique et stratégique dans le domaine photographique. Étape technologique, par l’introduction des dernières innovations et performances avancées… Étape  marketing, par l’ambition de conquérir, dans ses rangs, le monde très fermé, quant à ses habitudes, de la photographie sportive et celle du reportage. Une projection audacieuse et réaliste si Sony sait offrir un service professionnel sans faille. Le nouveau navire amiral de Sony, le Sony 9,  risquerait de devenir un cauchemar pour Nikon et Canon.

Capture One Pro 10, une référence qui annonce le déclin de Lightroom !

Si Capture One Pro jusqu’à sa version 8 était LE produit de référence auprès des photographes de mode et de studio, il est, depuis la version 9, un logiciel de plus en plus plébiscité par des photographes professionnels, experts, mais aussi de débutants passionnés en quête d’une expression photographique authentique et personnelle.

Capture One Pro 10 est de sortie depuis le 1er décembre 2016, une nouvelle version majeure qui évolue dans la douceur. L’accent est mis sur la fameuse expérience utilisateur, pour reprendre les termes du communiqué de presse, et des améliorations notables sur le rendu de certaines fonctions au sein de Capture One Pro 10.

Capture One Pro 10 s’attaque à la conquête du grand public tout en préservant l’aspect « ultra-professionnel » de son logiciel et de sa cible initiale. Capture One Pro 10 est une application complexe par la richesse fonctionnelle de ses modules, mais d’une étonnante simplicité une fois que l’on a compris sa philosophie et de la modularité extrême de l’interface jusqu’à rendre minimaliste Capture One Pro 10.

L’éditeur Phase One creuse le sillon avec talent et tacle à chaque version son concurrent Lightroom… Le petit éditeur danois face au mastodonte américain Adobe… Un petit éditeur qui, grâce à son talent et à pertinence, fait de son produit Capture One Pro 10 un standard et une référence de l’édition photographique. Une position qui se conforte à chaque nouvelle version, qui pourrait annoncer le début du déclin de l’application Lightroom et de toute une époque #ElleEstPasBelleLaViePhotoGraphique avec Capture One Pro 10 

Sony A7R II… Le prix d’un incroyable capteur de 42 Mpx. But, More Megapixels, More Problems !

Vous n’avez, peut-être, pas le talent photographique d’un Guy Bourdin, d’un Richard Avedon, d’un Joe L., d’un Ilan Ben Yehuda ou d’un Erwin Blumenfeld… mais vous le droit d’avoir, entre vos mains, la meilleure boite à image qui vous aidera à exprimer au mieux votre passion de l’art photographique. Cette exigence n’est pas l’apanage d’une élite prétentieuse autoproclamée ou de photographes « professionnels » qui seraient meilleurs parce que « professionnels ». Pour rassurer les uns et décevoir les autres, j’ai bien l’impression que le boitier ultime n’existe pas, ou bien il serait un curieux mélange de toutes les marques existantes et passées… 

Si je vous parle de tout cela, c’est que j’ai eu le privilège d’avoir eu entrée les mains un grand nombre de boitiers depuis quelques décennies. Cette quête du boitier ultime est une excitation photographique comme l’écrivain à la quête du livre fini. Ce boitier pourrait être le résultat d’une alchimie composée d’innombrables compromis entre simplicité, fonctionnalité, confort, discrétion et performance.

Vous connaissez le slogan « Vous l'avez rêvé Sony l'a fait! » … il se pourrait que la gamme Sony Alpha 7 soit une réponse minimaliste de cette fameuse quête. Depuis quelques années, Sony a fait le pari de développer une gamme de boitiers hybrides au capteur 24x36 qui répondent à des besoins autant généralistes que spécifiques sur la base d’un form factor identique. Je dirais, sans aucune forme de prosélytisme, que vous avez la certitude, avec cette gamme Sony Alpha 7, de posséder un excellent capteur d’image, un boitier cohérent, une visée électronique (EVF) des plus acceptables et une ergonomie logicielle relativement bien adaptée à tous types de photographie.

Fuji X-100T mode 28 mm à la place d’un Leica Q… Passion, mythe et raison

Le titre de l’article se pose plus dans une posture d’une réflexion que celle d’une provocation trollesque… même si l’idée d’être politiquement incorrect n’est pas pour me déplaire. La mise en relief du Fuji X-100T à côté d’un Leica Q n’a pas pour finalité de dénigrer tel produit pour faire l’éloge de l’autre… Bien au contraire, j’espère apporter quelques réflexions positives sur deux produits si différents et si proches à la fois… Au final, faire l’éloge de belle image.

Depuis l’époque excitante et aventurière de la photographie argentique jusqu’à l’arrivée du numérique, énormément de paramètres ont changé. Si les fondamentaux photographiques demeurent les mêmes, le numérique a permis au plus grand nombre de les utiliser en toute transparence.

Dans cet article, je souhaite lutter contre certaines idées reçues. Par exemple, une photo serait meilleure parce que prise avec un capteur plein format (*plein format de quoi? et par rapport à quel format?*) ou meilleure parce que le boitier serait un Leica! Des postulats fondés sur un arbitraire technique ou d’un pur mythe comme le Leica… Même, si a son époque, Leica a été une marque d’exception. Comme Contarex, Yashica, Rollei, Olympus, Contax, voire Fuji… et d’autres eurent aussi leurs heures de gloire.

Un beau boitier, une belle prise en main, une belle ergonomie, de belles proportions sont autant d’éléments qui influencent l’approche subjective et objective du résultat photographique. Si la qualité de fabrication d’un Fuji X-100T est satisfaisante, elle ne se compare pas à l’excellence d’un Leica Q. En revanche, il sera difficile de percevoir une réelle différence photographique entre ces deux boitiers… Ce n’est pas, peut-être, politiquement correct, mais c’est factuel !