All in #News

Setapp, le service de location mensuel d’applications.

En 1990, Larry Ellison, homme d’affaires américain, fondateur de la société Oracle, prédisait que la pratique de l’ordinateur se ferait, entre autres, avec le cloud et des services associés par location ou abonnement. Le temps lui a donné raison, puisque l’on voit fleurir de partout des services de ce type comme: Apple Music, Spotify, Adobe, iCloud, Dropbox… la liste est longue ! Setapp est le dernier en date, il propose par abonnement mensuel un catalogue d’applications sans aucune limitation d’usages et de fonctionnalités. Aujourd’hui, l’offre du service Setapp est, à ce jour, encore un peu limitée, mais selon sa chargée de communication, Julia Petryk, il s’étoffera au fil des mois. C’est MacPaw, l’éditeur des applications CleanMyMac, Gemini, qui est à l’origine de la création du service Setapp.

Capture One Pro 10, une référence qui annonce le déclin de Lightroom !

Si Capture One Pro jusqu’à sa version 8 était LE produit de référence auprès des photographes de mode et de studio, il est, depuis la version 9, un logiciel de plus en plus plébiscité par des photographes professionnels, experts, mais aussi de débutants passionnés en quête d’une expression photographique authentique et personnelle.

Capture One Pro 10 est de sortie depuis le 1er décembre 2016, une nouvelle version majeure qui évolue dans la douceur. L’accent est mis sur la fameuse expérience utilisateur, pour reprendre les termes du communiqué de presse, et des améliorations notables sur le rendu de certaines fonctions au sein de Capture One Pro 10.

Capture One Pro 10 s’attaque à la conquête du grand public tout en préservant l’aspect « ultra-professionnel » de son logiciel et de sa cible initiale. Capture One Pro 10 est une application complexe par la richesse fonctionnelle de ses modules, mais d’une étonnante simplicité une fois que l’on a compris sa philosophie et de la modularité extrême de l’interface jusqu’à rendre minimaliste Capture One Pro 10.

L’éditeur Phase One creuse le sillon avec talent et tacle à chaque version son concurrent Lightroom… Le petit éditeur danois face au mastodonte américain Adobe… Un petit éditeur qui, grâce à son talent et à pertinence, fait de son produit Capture One Pro 10 un standard et une référence de l’édition photographique. Une position qui se conforte à chaque nouvelle version, qui pourrait annoncer le début du déclin de l’application Lightroom et de toute une époque #ElleEstPasBelleLaViePhotoGraphique avec Capture One Pro 10 

« Hello Again » Les MacBook Pro de la rupture aux tarifs « normaux » !

Le 29 octobre 2016, Tim Cook, accompagné de Phil Schiller et de Craig Ferlly,  présentait les nouveaux MacBook Pro. Une annonce et une présentation particulièrement attendues d’une clientèle impatiente, prête à succomber aux réminiscences du slogan « Hello Again » qui annonçait ce keynote comme un nouveau tournant pour Apple. Un « Hello » mythique rempli de symboles qui avait fait se réveiller tous les fansboys de la marque pommée !

Au final, l’ambiance de ce keynote s’est montrée bien éloignée de celle de l’annonce du premier Macintosh, du premier iMac, du premier iPhone ou du premier iPad… Depuis, ces temps forts qui avaient marqués tous les esprits, Apple est confronté à une clientèle versatile et plus difficile à convaincre, une technologie en attente de renouvellement, un contexte économique délicat, un climat social au plus bas… et la difficulté pour Apple à imaginer son avenir technologique en précédant les usages. Comme le disait ma grand-mère: « On ne peut pas être et avoir été ! »

Pour ma part, tout en gardant un esprit critique, j’ai trouvé ces nouveaux MacBook Pro particulièrement intéressants à la fois sur le fond et sur la forme. Certes, la rupture est violente et sans concession, mais finalement, Apple reste cohérente avec elle-même et sur la philosophie de ses produits… Quant aux tarifs, ils grimpent, ils apparaissent comme indécents pour beaucoup de clients Apple qui ne peuvent plus suivre cette inflation tarifaire. Pourtant, cette augmentation tarifaire se justifie, en partie, par des raisons technologiques comme l’apparition de la Touch Bar, sauf sur le modèle d’entrée de gamme !
Cette présentation tardive met en évidence la dépendance d’Apple face au fondeur Intel en position de monopole sur ce segment technologique des processeurs. 

Apple Watch Series 2, iPhone 7… La révolution non , la maturité oui

Mercredi 7 septembre 2016 à San Francisco au Bill Graham Civic Auditorium Apple présentait, entre autres, deux nouveaux produits particulièrement attendus: l’iPhone 7 et Apple Watch Series 2 avec leurs nouveaux systèmes iOS 10 et watchOS 3. Tim Cook maitre de cérémonie secondé par Phil Schiller et Jeff Williams ont fait le show. Un show plutôt bien maitrisé à la hauteur de la qualité des produits présentés.

Si l’iPhone 7 et Apple Watch Series 2 ne sont pas des produits révolutionnaires, ils sont des produits d’une étonnante maturité et abordent des fonctionnalités qui apporteront, pour certains utilisateurs, une véritable valeur ajoutée.

Apple fait encore une fois la preuve de l’importance de l’interaction entre ses différents produits supportés par un puissant système d’exploitation même si celui-ci est relativement fermé. Quant à l’écosystème Apple, il n’est plus à démontrer et fait LA différence avec le système Android.

Les 75 features iOS 10… Tout pour iPhone, rien pour iPad #WhatTheFuck !!!

9to5Mac a publié une vidéo présentant les 75 nouveautés de la première version bêta iOS 10 dont la disponibilité publique est prévue pour septembre 2016. Cette vidéo confirme mon ressenti durant la conférence publique de Tim Cook, inaugurant la WWDC 2016. iOS 10 se présente comme un approfondissement ultime des fonctions déjà présentent sous iOS 9. En revanche, aucune nouvelle fonction qui anticipe le besoin de l’utilisateur; la marque et la valeur ajoutée Apple sous l’ère Steve Jobs. 
Néanmoins, tout le monde observera la volonté d’Apple à vouloir parfaire chaque fonction de nouveautés parfois pertinentes, mais aussi tape-à-l’oeil, voir cache-misère. À décharge, on ne peut pas demander à Apple de réinventer la roue à chaque nouvelle version de son OS.