LaCie Rugged SSD pro

Bonjour à tous, j’espère que tout se passe bien pour vous, que le confinement n’est pas trop dur ? Je reviens aujourd’hui, pour vous parler d’un disque dur externe, cela fait plus d’un an que je travaille dans une cellule de conception multimédia. Notre activité principale est le montage vidéo. Nous avons eu la possibilité d’utiliser divers disques durs externes du mécanique au SSD. Dans la vidéo, surtout lorsque l’on filme en 4k des séquences vidéo de plus de 2h. Nos fichiers peuvent s’afficher plus en Go voir en To qu’en Mo. Ce qui peut être vraiment handicapant lorsque vous revenez aux bureaux pour débuter le montage vidéo. Les taux de transfert ainsi que la durée peut prendre en fonction des disques plus d’une demi-journée. LaCie m’a contacté en début d’année pour tester le Rugged SSD pro, j’ai testé ce disque pour vous et je vous donne mon avis.

Fujifilm X-Pro3… je t’aime, moi non plus!

Les boitiers Fujifilm de la série X-Pro ont toujours suscité un enthousiasme particulièrement chaleureux par les aspects minimalistes de leurs usages et du rendu photographique si particulier qu’ils délivrent.

Le Fujifilm X-Pro3 ne déroge pas à ces qualités, mais il est certainement le boitier photographique le plus controversé du constructeur nippon. Ses avancées technologiques vont dans le sens du plaisir de la prise de vue; son aspect rétro, traditionnel, discret, rassurant, le destine à la photographie documentaire, journalistique, sociologique et de la rue.

L’objet de la discorde et de la controverse tient à l’écran arrière, fermé, pour célébrer la pure essence de la photographie, « Pure Photography », selon le marketing et les éléments de langage de la société Fujifilm. Boitier prodige ou boitier issu d’un brainstorming accompagné de champignons hallucinogènes et de musiques colorgiques…

Bref, dans un temps imparti, trop court de quelques jours, j’ai examiné, scruté, manipulé le boitier et les menus. J’ai évidemment pris des photos, j’ai parcouru la documentation du Fuji X-Pro3 pour tenter d’apporter une ou plusieurs réponses de cette boite à image aussi attachante qu’elle surprend de ses contradictions face au concept de la « Pure Photography ».

Capture One Pro 20, une subtile évolution

L’éditeur Phase One a sorti, depuis quelques semaines, Capture One Pro 20, une nouvelle version qui succède, avec une curieuse « logique », à une version 12 sortie il y a tout juste une année. Cette version 20 ne se présente pas comme une évolution majeure, mais une subtile amélioration de l’usage de certaines fonctionnalités et de quelques points ergonomiques. Dans l’ensemble, Capture One Pro devance toujours Lightroom sur la partie du développement photographique à travers des fonctions puissantes et une ergonomie toujours unique sur le marché des applications photographiques. Néanmoins, Phase One devra faire preuve de plus de détermination pour offrir un produit plus adapté aux exigences du marché et une indispensable application mobile. L’iPad Pro, avec son système iPad Os peut désormais se substituer à un ordinateur portable dans un cadre de travail photographique.

Pour l’anecdote concernant le saut de la version chiffrée 12 à 20, elle s’explique par la superstition du chiffre 13. Phase One en profite pour démarrer avec le chiffre 20 à proximité de l’année 2020 et sera la base d’une nouvelle numérotation en concordance avec l’année de publication.