Capture One Pro 9, votre talent de photographe mérite la meilleure application!

La photographie est certainement l’activité numérique la plus populaire. Mais, curieusement, si les photographes sont nombreux, les applications qui traitent le flux de production ne sont pas légion et surtout elles ne sont pas, ou très peu, adaptées aux nouveaux usages de la photographie. Bref, le photographe du XXIe siècle doit, d’une certaine manière, bricoler pour aboutir sur un travail de postproduction photographique conforme à ses besoins; qu’il soit ludique, expert ou professionnel.

Capture One Pro, dans sa version 9, nouvel opus de l’éditeur Phase One, corrigé d’un grand nombre d’incohérences, se présente désormais comme un véritable choix, voire une référence, face à Lightroom ou DxO OpticsPro.
Capture One Pro 9 s’affiche comme l’application photographique qui offre le meilleur rendu photographique grâce à des algorithmes de traitements des images qui sont uniques comme de la manière dont vous allez les utiliser.

Olympus Pen-F, peut-être la renaissance salvatrice d’une légende et d’une belle gueule…

J’ai une affection particulière pour Olympus, même si nous nous sommes séparés depuis quelques années. J’ai fait partie de ces rares photographes qui ont cru au révolutionnaire Olympus E-1 avec son capteur d’exception signé Kodak et des optiques Zuiko, certainement les meilleurs sur cette planète. Les connaisseurs sauront de quoi je parle si je cite, par exemple, le 35/100 (très prisé pour le cinéma).

Le nouveau boitier Pen-F est une renaissance d’un boitier portant le même nom né cinquante-sept ans plus tôt. L’Olympus Pen-F connut le succès sous différentes versions de 1959 jusqu’en 1963.

Le vintage n’est pas qu’une simple recette marketing pour conquérir de nouveaux utilisateurs, c’est aussi la preuve qu’il est indispensable de retrouver les fondamentaux de la pratique photographiques comme la sensation de maitrise à la prise de vue en interagissant, comme à l’ancienne, sur les variables vitesse, sensibilité et diaphragme. Un plaisir très subjectif qui offre cette impression magique que l’on fait mieux, que l’on est plus créatif et que l’on va à l’essentiel du sujet.

Leica X-U, un « Nikonos » au tarif délirant. Oui, mais c’est un Leica!

Le dernier appareil en date de la marque Leica s’appelle Leica X-U. Un « nouveau » boitier qui n’est plus ni moins qu’un Leica X (typ 113) avec la particularité d’être étanche jusqu’à 15m, certifié de la très officielle norme ISO IP68.


Certes, les photos qui sortiront du Leica X-U seront superbes comme elles le sont avec le Leica X (typ 113) et plus belles encore que le Fuji X100T. Certes, le Leica X-U ne manque pas d’arguments pratiques pour justifier son usage en situations extrêmes sur terre, sous terre et sous mer. Mais cela se justifie-t-il par un tarif de 3250€ alors que le Leica X (typ 113) coûte 1849€.

 En son temps, Nikon lançait en 1963 le Nikonos un boitier construit spécifiquement pour la photo sous-marine. Un boitier mythique qui allait marquer pour toujours la marque nippone. Nikon abandonna le Nikonos avec le numérique. Depuis cette date pas une marque n’osa s’aventurer dans la conception de ce type de boitier. Le Leica X-U est, en quelque sorte, le successeur du fameux Nikonos.

 

Fuji X-Pro 2. Belle réussite photographique , mais en retenue!

Prés de quatre ans après la sortie remarquée du X-Pro1, un boitier hybride au format APS-C à l’esprit vintage, Fuji présente le X-Pro2; un boitier qui reprend les codes du Fuji X-Pro 1 qui ont fait son succès tout en y apportant de nouveaux centres d’intérêt tant photographiques que technologiques.

Si le Fuji X-Pro 2 ne fait pas la révolution, peut-être pour des raisons marketing ou tarifaires, il suit une sage évolution en se concentrant sur les éléments qui feront « l’Image ». Au regard du concept élaboré par Fuji, le X-Pro 2 se destine à la photographie de reportage, au sens le plus large, et de l’usage de focales fixes. De ce point de vue, le X-Pro 2 ne cannibalise pas le X-T1.